Virginie Clénet affirme une écriture intime, féminine, singulière, marquée par la poésie des mots et de l’imaginaire qui évoque ce rapport sensible au monde. Virginie décrit des liens, des chemins entre l’infime et l’infiniment grand, là où les “frontières” se troublent, entre soi et l’autre, entre l’intérieur de l’être et l’extérieur.
Danseuse, c’est son expérience du mouvement qui l’amène à mettre le corps au centre de son propos, le corps organique, le corps matière, le corps sensible, profondément relié au monde du vivant.